J'ai rêvé qu'une association se créait.
Elle s'appellait "SAUVONS LA FACE", était composée de musulmanes, et militait contre le niqab et l'exhibition des nudités féminines...
Le jour, ses membre travaillait à faire passer le message que le niqab n'est PAS dans l'Islam et que l'exhibition de la sexualité a des conséquences néfastes sur le développement des enfants. (Ce qui est vrai.)
La nuit, les membres de cette association se faufilaient dans les rues des grandes villes, et rhabillait les femmes nues des affiches commerciales. Pas forcément en noir. En noir, en blanc, en rose, en bleu, en robes fleuries... Un peu de peinture, et hop, les voilà habillées décemment. Elles sont toujours aussi belles, mais elles n'agressent plus les passants, les passantes et les enfants avec leurs seins et leurs fesses brandies.
Bref, j'ai rêvé d'une association pour la pudeur qui soit aussi une association contre les dérives wahabites.
Au nom de la dignité de la femme, elle dévoilait son visage et cachait son corps.
Ce qui est logique : ne met-on pas nu les prisonniers pour les humilier ?
Et ne leur cache-t-on pas le visage sous un sac ?
Se respecter en tant que femme - et respecter les valeurs de l'Islam - c'est montrer son visage, siège de la dignité (d'où les expressions "sauver la face", "perdre la face") et cacher soigneusement tout le reste.
mercredi 27 octobre 2010
lundi 25 octobre 2010
La richesse est-elle un objectif valable pour un croyant (ou une croyante) ?
Pour faire simple, la réponse est OUI.
A moins bien sûr qu'on soit absolument sûr de devenir arrogant en devenant riche...
Mais après tout, nous sommes sensés suivre l'exemple du Prophète (SAW), et s'il a vécu comme un pauvre, il n'en était pas moins riche et même très riche : avoir énormément d'or, et le donner, puis en avoir encore, et le donner encore, etc., c'est être riche. Ceux qui vivotent dans la pauvreté ne suivent pas l'exemple du Prophète (du moins, ils ne le suivent pas sur cet important terrain-là).
Souvenons-nous aussi du hadith : « Le croyant fort est meilleur et plus aimé de Dieu que le croyant faible, même si tous les deux sont bons. Cherche avec énergie tout ce qui te profite et sollicite l'assistance de Dieu et ne reste pas impuissant."
La richesse est une force ; la pauvreté, un état de faiblesse et d'impuissance.
La pauvreté est la source d'innombrables maux - tellement nombreux qu'on ne pourrait pas les dénombrer.
Et le seul remède connu à la pauvreté est... oui, vous avez tapé dans le mille... la richesse.
D'ailleurs, sur les cinq piliers de l'Islam, deux nécessitent une certaine aisance :
1/ La zakat (impôt social purificateur) ;
2/ Le pèlerinage.
2 sur 5 !
N'est-ce pas un indice assez certain que Dieu nous demande de nous enrichir ?
D'ailleurs, comment redorer le blason de l'Islam quand on n'a pas d'or ?
Vous allez me dire que les premiers musulmans étaient très pauvres...
Certains étaient très riches, et les dix compagnons à qui le Paradis a été garanti étaient très riches.
Khadija était extrêmement riche.
L'argent est une force : pourquoi les musulmans, qui ont la vérité, devraient-ils se couper les mains en renonçant à acquérir les moyens de leurs ambitions ?
Ne tombez pas dans le piège qui consiste à confondre pauvreté et vertu, comme si la stagnation économique, le découragement, le défaitisme, le manque d'ambition et de planification étaient des qualités islamiques !
L'argent est une force et le croyant fort est meilleur et plus aimé de Dieu que le croyant faible.
A moins bien sûr qu'on soit absolument sûr de devenir arrogant en devenant riche...
Mais après tout, nous sommes sensés suivre l'exemple du Prophète (SAW), et s'il a vécu comme un pauvre, il n'en était pas moins riche et même très riche : avoir énormément d'or, et le donner, puis en avoir encore, et le donner encore, etc., c'est être riche. Ceux qui vivotent dans la pauvreté ne suivent pas l'exemple du Prophète (du moins, ils ne le suivent pas sur cet important terrain-là).
Souvenons-nous aussi du hadith : « Le croyant fort est meilleur et plus aimé de Dieu que le croyant faible, même si tous les deux sont bons. Cherche avec énergie tout ce qui te profite et sollicite l'assistance de Dieu et ne reste pas impuissant."
La richesse est une force ; la pauvreté, un état de faiblesse et d'impuissance.
La pauvreté est la source d'innombrables maux - tellement nombreux qu'on ne pourrait pas les dénombrer.
Et le seul remède connu à la pauvreté est... oui, vous avez tapé dans le mille... la richesse.
D'ailleurs, sur les cinq piliers de l'Islam, deux nécessitent une certaine aisance :
1/ La zakat (impôt social purificateur) ;
2/ Le pèlerinage.
2 sur 5 !
N'est-ce pas un indice assez certain que Dieu nous demande de nous enrichir ?
D'ailleurs, comment redorer le blason de l'Islam quand on n'a pas d'or ?
Vous allez me dire que les premiers musulmans étaient très pauvres...
Certains étaient très riches, et les dix compagnons à qui le Paradis a été garanti étaient très riches.
Khadija était extrêmement riche.
L'argent est une force : pourquoi les musulmans, qui ont la vérité, devraient-ils se couper les mains en renonçant à acquérir les moyens de leurs ambitions ?
Ne tombez pas dans le piège qui consiste à confondre pauvreté et vertu, comme si la stagnation économique, le découragement, le défaitisme, le manque d'ambition et de planification étaient des qualités islamiques !
L'argent est une force et le croyant fort est meilleur et plus aimé de Dieu que le croyant faible.
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